ORDRE
ROYAL
ET
MILITAIRE
DE
SAINT-LOUIS.
(1693-1830).
Premier
ordre
de
mérite
français,
il
fut
créé
par
le
roi
Louis
XIV
en
avril
1693.
Par
cette
création,
le
roi
allait
permettre
à
des
officiers
non
nobles
d'acquérir,
par
leur
bravoure
au
combat,
un
titre
de
chevalier,
tout
comme
un
officier
noble.
Transformé
en
Décoration
militaire
le
1
janvier
1791,
aboli
le
15
octobre
1792
à
la
suite
de
la
chute
de
la
royauté,
il
continuera
à
être
distribué
par
Louis
XVIII
pendant
l'émigration.
Rétabli
lors
de
la
Restauration,
il
sera
définitivement
supprimé
en
1830.
L'Ordre
de
Saint-Louis
comportait
trois
classes:
chevalier,
commandeur
et
grand-croix.
L'insigne
se
portait
suspendu
à
un
ruban
rouge
feu.
*
M.M.
pp.
85
et
ss.;
OSC
pp.
XXII
et
ss.,
pp.
157
et
ss;
ASR
2
pp.
5;
CB
p.
21
et
ss.;
AS3
p.
30.
Brevet
de
chevalier
de
Saint
Louis
de
J.F.E.
Lecertain.
Parchemin;
53
cm
X
28
cm.
[338]
Lettres
de
chevalier
de
l'Ordre
Militaire
de
Saint-Louis
en
faveur
de
Jean
François
Etienne
Lecertain.
Données
à
Versailles
le
12/11/1784
et
signées
Louis
et
le
Conseiller
secrétaire
d'état
et
des
commandements
et
finances
responsable
du
Département
de
la
Guerre.
J.F.E.
Lecertain
sert
dès
le
12
avril
1767
comme
aspirant
puis
élève;
il
est
successivement
lieutenant
au
corps
d'artillerie
de
France
puis
capitaine
d'une
compagnie
d'artillerie
détachée
aux
Iles-du-Vent,
et
enfin,
au
moment
de
sa
nomination
dans
l'Ordre,
capitaine
en
premier
ayant
rang
de
major
au
régiment
du
corps
royal
de
l'artillerie
des
Colonies.
(1784).
Attestation
de
restitution
d’une
croix
de
l’Ordre
de
Saint-Louis.
Papier
partiellement
imprimé
;
32.7
cm
X
22
cm.
[395]
Sous
la
représentation
de
l’avers
et
du
revers
d’une
croix
de
Saint-Louis
à
pointes
bouletées,
le
texte
suivant,
partiellement
manuscrit
:
Je
soussigné
Commissaire
Ordonnateur
des
Guerres,
/
Premier
Commis
du
Département
de
la
Guerre,
/
Secrétaire-Général-Greffier-Intendant
et
Garde
des
/
Archives
de
l’Ordre
Royal
et
Militaire
de
Saint-Louis,
/
reconnais
qu’en
exécution
de
l’article
10
de
/
l’Ordonnance
du
Roi
du
21
Août
1779,
concernant
/
l’Ordre
de
Saint-Louis,
M.
de
Gilibert
/
m’a
remis
la
Croix
dont
feu
Mr.
Féréol
Dorival
/
Lieutenant
Colonel
mort
à
l’hôtel
Ral
des
Invalides
/
était
décoré,
en
qualité
de
Chevalier
/
dudit
Ordre.
A
Versailles,
ce
23
juillet
1783.
Mr
Féréol-Dorival
fut
fait
chevalier
de
Saint-Louis
en
1748,
étant
alors
capitaine
au
régiment
Royal-Artillerie,
bataillon
de
Bourque-Felden.
Lettre
de
nomination.
Papier,
24.3cm
X
36.5cm.
[298].
Lettre
de
nomination
comme
chevalier
de
l'Ordre
de
Saint-Louis
de
Sylvestre-Louis-Charles
du
Roy
de
Bliquy,
donnée
à
Versailles
le
15
février
1789
par
le
roi
Louis
XVI.
Fils
de
Jacques,
capitaine
et
chevalier
de
Saint-Louis,
né
à
Mons
en
1745
et
décédé
à
Blicquy
en
1826,
Sylvestre-L.-C.
du
Roy
de
Blicquy
fut
capitaine
au
régiment
Dauphin;
chevalier
de
Saint
-Louis,
membre
des
Etats
du
Cambraisis,
seigneur
de
Blicquy,
Morcourt
et
Cuvilliers,
membre
des
Etats
Provinciaux
du
Hainaut
siégeant
au
corps
équestre
de
1817
à
sa
mort.
Croix
de
chevalier.
Demi-taille.
|

|
Réduction
de
30
mm
d'une
croix
de
chevalier.
Epoque
fin
XVIII°.
[113].
Un
autre
exemplaire
même
époque,
variante
de
centres.
[475]
Croix
à
pointes
sans
boules;
anneau
cannelé.
Avers:
Effigie
de
Saint
Louis
entourée
de
la
légende:
"LUD.
M.
INST.
1623.".
Revers:
Epée
passant
dans
une
couronne,
le
tout
entouré
de
la
légende:
"BELL.
VIRTUTIS
PRAEM.".
Brevet
et
lettre
de
réception
dans
l'Ordre.
Vélin
40,8
cm
X
31,8
cm.;
papier
17
cm
X
22
cm.
[311]
-Brevet
n°
8519
/
2°
série
sur
vélin
attribué
à
Florian
J.M.A.
Daën
de
Kménénan,
ancien
officier.
Donné
à
Paris
le
22
mai
1816.
Porte
la
signature
de
Louis
XVIII
(griffe).
Manque
le
sceau.
-Lettre
de
réception
dans
l'ordre,
du
même,
signée
le
12
août
1816
par
le
comte
de
Plouer,
ancien
lieutenant-colonel
de
cavalerie
commandant
la
Garde
nationale
de
Saint-Malo
et
de
Saint-Servan.
Avis
de
nomination
et
lettre
de
réception.
Papier
partiellement
imprimé.
30,7cm
X
41,5cm.;
papier.
30,7cm
X
41,5cm.
[370].
-
Lettre
d'avis
de
nomination
dans
l'Ordre
de
Saint-Louis
de
Roland-Hugues-Jean-Baptiste
de
Payen
de
Chavoy,
ancien
officier,
datée
de
Paris
le
18
janvier
1815.
-Certificat
de
réception
dans
l'Ordre
de
Saint-Louis
de
R.H.J.B.
de
Payen
de
Chavoy
par
Jean
Anthénor
de
la
Bellière-Chavoy,
chevalier
de
Saint-Louis
et
major
d'infanterie,
donné
à
Avranches
le
16
février
1815;
avec
petit
sceau
plaqué
en
cire
rouge
Ordonnance
accordant
la
Croix
de
Saint-Louis
aux
maréchaux
de
France.
Papier,
4
pages.
31.5
cm
X
19.7
cm.
[398]
Copie
conforme
signée
par
le
Ministre
de
la
Guerre,
le
lieutenant-général
comte
Dupont
de
l’ordonnance
royale
du
1
juin
1814
accordant
la
croix
de
chevalier
de
Saint-Louis
à
Messieurs
les
Maréchaux
de
France
ci-après
nommés
:
Mr
le
Maréchal
Moncey,
duc
de
Conegliano
/
Jourdan
/
Massena
duc
de
Rivoli
/
Augereau
duc
de
Castiglione
/
Soult
duc
de
Dalmatie
/
Brune
/
Mrtier
duc
de
Trévise
/
Ney
duc
d’Elchingen
/
Victor
duc
de
Bellune
/
Marmont
duc
de
Raguse
/
Macdonald
duc
de
Tarente
/
Suchet
duc
d’Albufuera,
/
Gouvion-Saint-Cyr
/
Lefèvre
duc
de
Dantzig
/
Pérignon
;
aux
lieutenants-généraux
Compans,
Curial,
Drouet,
Decaen,
Dessoles,
Gazan,
Gérard,
Grenier,Lauriston,
Ledru
des
Essarts,
Leval,
Lecourbe,
Marchand,
Maison,
Mathieu,
Michaud,
Ricard,
Souham,
Vilatte,
Friant,
Vignolle,
Belliard,
Bordesoult,
Doumere,
Kellerman,
Lagrange,
Latour-Maubour,
Milhaud,
Nansouty,
Pajol,
Sebastiani,
Sorbier,
Dulauloy,
Marescot,
Rogniat
;
aux
chefs
d’administration
militaire
Denniée,
inspecteur
en
chef
aux
revues,
intendant
de
la
maison
militaire
du
roi,
Marchant,
intendant
général
de
l’armée
et
enfin
au
ministre
de
la
marine,
le
baron
Malbouet.
Tous
ces
décorés
devront
être
reçus
par
le
ministre
de
la
guerre.
Ces
nominations
ne
sont
pas
mentionnées
dans
l’ouvrage
de
Colleville
et
Saint-Christo.
Croix
de
Chevalier
de
Saint-Louis
|

|
Or
et
émaux.
37
mm
X
36.5
mm.
Epaisseur
maximum
5
mm.
[420]
Croix
des
premières
années
de
la
Restauration,
à
pointes
non
bouletées,
poinçonnée
au
coq
(1809-1819)
au
revers
du
fleuron
de
suspension
de
l’anneau
cannelé.
Ruban
postérieur.
Lettres
de
chevalier
de
l’Ordre
de
Saint-Louis.
Parchemin.
31
cm
X
40.5
cm.
[433].
Rare
modèle
de
brevet
portant
la
signature
autographe
du
Roi
Louis
XVIII
et
un
sceau
sous
papier
aux
armes
de
France
du
Ministère
de
la
Guerre.
Ce
document,
daté
du
15
octobre
1814,
attribue
la
croix
de
chevalier
de
l’Ordre
au
sieur
Louis,
baron
de
Plessen,
chef
d’escadron
au
régiment
de
Berry-Lanciers.
Cette
nomination
n’est
pas
mentionnée
par
Colleville
et
Saint-Christo.
MEDAILLON
DES
DEUX-EPEES.
Première
distinction
française
attribuée
aux
bas-officiers
et
soldats,
le
Médaillon
des
Deux-Epées
est
créé
par
ordonnance
du
16
avril
1771.
Appelé
parfois
Médaillon
de
Vétérance,
il
récompensait
vingt-quatre
années
de
service.
Il
survivra
à
la
suppression
des
décorations
de
1793
et
sera
également
attribué
par
la
Convention
aux
officiers,
sous-officiers
et
soldats.
Cette
distinction
disparaîtra
au
début
du
Directoire,
vers
1795.
*
ASR2
pp.
25
et
ss.
Brevet
du
Médaillon
des
Deux-Epées.
An
2.
Vélin,
34cm
X
28cm.
[278].
Brevet
républicain,
dit
du
4°
type,
attribué
à
Denis
Rossignol,
maréchal
des
logis
de
gendarmerie.
Donné
à
Paris
le
26
nivôse
an
2
et
portant
la
griffe
du
Ministre
de
la
Guerre
Bouchotte;
il
fut
en
fait
délivré
comme
duplicata
d'un
brevet
du
type
de
la
monarchie
constitutionnelle
décerné
le
8
mai
1792
et
qui,
suite
au
décret
du
28
brumaire
an
2,
avait
dû
être
détruit
parce
qu'il
portait
les
insignes
de
la
royauté.
DECORATIONS
REVOLUTIONNAIRES.
Après
la
prise
de
la
Bastille
(14
juillet
1789),
les
"Vainqueurs"
reçurent
deux
types
de
décorations
selon
qu'ils
étaient
du
régiment
des
gardes-françaises
ou
bourgeois.
Le
5
août
1789,
le
comité
militaire
de
l'Assemblée
communale
de
Paris
proposait
la
création
d'une
médaille
d'or
communale
pour
les
gardes-françaises
ayant
participé
à
la
prise
de
la
Bastille.
Cette
distinction
fut
créée
par
arrêté
du
1
septembre
suivant.
Elle
consistait
en
un
losange
en
or
suspendu
à
un
ruban
aux
couleurs
de
la
ville.
En
1832,
la
Monnaie,
qui
avait
conservé
les
coins,
en
réalisera
une
refrappe
pour
les
survivants
ayant
perdu
leurs
insignes.
Le
19
juin
1790,
l'Assemblée
Nationale
accorde
aux
vainqueurs
de
la
Bastille
une
couronne
murale
suspendue
à
un
ruban
blanc
et
rouge.
Ces
deux
décorations
seront
accompagnées
d'un
brevet;
elles
seront
supprimées
en
1793,
tombant
sous
le
coup
du
décret
du
20
août.
Losange
des
gardes-françaises.
|

|
Refrappe
en
argent
(36
mm
/
26
mm;
épaisseur:
2
mm)
de
la
médaille
d'or
communale
des
gardes-françaises.
[117].
Avers:
Chaînes
brisées,
cadenas
ouvert
et
boulets.
En
bordure
du
losange:
"LA
LIBERTE
/
CONQUISE
/
LE
/
14
JUILLET
1789."
Revers:
Epée
en
pal
traversant
une
couronne
de
chêne
et
de
laurier.
En
bordure
du
losange:
"IGNORANT
NE
/
DATOS
NE
/
QUISQUAM
/
SERVIAT
ENSES."
*ASR1
pp.
21
et
ss.
LES
ARMES
D'HONNEUR.
L'article
87
de
la
Constitution
de
l'an
VIII
prévoyait,
"pour
les
guerriers
qui
avaient
rendu
des
services
éclatants
en
combattant
pour
la
République",
des
armes
d'honneur
garnies
en
argent;
l'arrêté
du
4
nivôse
an
VIII
(25
décembre
1799)
règle
le
mode
et
la
nature
des
récompenses
nationales
à
décerner
aux
militaires.
Il
a
été
attribué
1.854
récompenses
nationales
de
ce
type,
accompagnées
d'un
brevet,
dont
784
fusils
d'honneur.
Brevet
d'Honneur.
Parchemin
partiellement
imprimé;
41
cm
X
33
cm.
[452].
Ce
brevet
attribue
un
fusil
d'honneur
au
citoyen
Anne
Grand,
sergent
à
la
6°
légère,
pour
sa
conduite
distinguée
et
sa
bravoure
éclatante
"à
l'affaire
de
Maringo;
où
ce
brave
militaire,
après
avoir
reçu
une
blessure
assez
grave
à
la
cuisse
s'est
encore
battu
avec
intrépidité
pendant
quetre
heures.".
Signé
à
Paris
le
23
frimaire
an
IX
par
Bonaparte,
Hugues
Maret
et
A.
Berthier.
Né
le
11/07/1771
à
Chabanais
(Charente),
Anet
Grand
est
soldat
le
21/09/1791
dans
le
1°
bataillon
de
la
Charente,
puis
passe
au
5°
bataillon
et
de
là
dans
la
6°
demi-brigade
légère
devenue
ensuite
6°
régiment
d'infanterie
légère;
campagnes
de
1792
et
1793
à
l'Armée
du
Nord;
caporal
le
17
avril
1793,
sergent
le
17
août
suivant;
à
l'Armée
de
l'Ouest
de
l'an
II
à
l'an
VII,
puis
à
l'Armée
d'Italie
(campagnes
des
ans
VIII
et
IX);
blessé
d'un
couip
de
feu
à
la
jambe
gauche
à
Marengo;
nommé
sergent-major
le
27
vendémiaire
an
IX,
reçoit
un
fusil
d'honneur
le
23
frimaire
suivant;
sous-lieutenant
le
21
nivôse
an
X;
classé
comme
membre
de
droit
dans
la
12°
cohorte
de
la
Légion
d'Honneur;
sert
au
camp
de
Montreuil
pendant
les
ans
XII
et
XIII.
A
la
Grande
Armée
en
Autriche
et
en
Prusse
(1805
-
1806),
il
obtient
le
grade
de
lieutenant
le
31
mai
1806.
Campagne
d'Espagne
dans
le
corps
du
général
Dupont;
prisonnier
de
guerre
à
Baylen
le
22
juillet
1808,
rentré
en
France
le
7
juin
1814;
campagne
de
1815
à
l'Armée
des
Alpes.
Mis
en
non
activité
après
Waterloo,
puis
à
la
retraite
le
8
aôut
1816.
(Fastes
de
la
Légion
d'Honneur,
t.
2,
(1843),
p.
22).
ORDRE
DE
LA
LEGION
D'HONNEUR.
Depuis
longtemps,
Bonaparte
songeait
à
"la
création
d'une
distinction
qui
serve
de
récompense
à
la
bravoure
militaire
et
au
mérite
civil."
Le
décret
du
29
floréal
an
10
(19
mai
1802)
allait
concrétiser
cette
idée
en
créant
la
Légion
d'Honneur.
Organisée
d'abord
en
quatre
grades
(Légionnaires
ou
Chevaliers,
Officiers,
Commandants
et
Grands-Officiers),
elle
se
voit
adjoindre
une
dignité
suprême,
celle
de
Grand-Aigle
le
10
pluviose
an
13.
L'insigne,
dessiné
par
Louis
David,
se
présente
sous
la
forme
générale
d'une
étoile
à
cinq
rayons
doubles
émaillés
de
blanc
reliés
par
une
couronne
de
chêne
et
de
laurier.
Le
centre
de
l'avers
présente
l'effigie
laurée
de
l'Empereur
et
celui
du
revers,
l'aigle
impériale
avec
la
devise
de
l'ordre:
"Honneur
et
Patrie".
Le
ruban
est
rouge.
On
peut,
sous
l'Empire,
distinguer
cinq
grands
types
d'insignes,
chacun
étant
susceptible
de
variantes
de
style
selon
les
orfèvres
fabricants:
un
premier
type
sans
couronne,
un
deuxième
type
avec
couronne
à
douze
palmettes
apparu
suite
à
un
décret
du
12
avril
1806,
un
troisième
type
avec
couronne
à
huit
palmettes
apparu
en
1808,
un
quatrième
type
(vers
1811)
dans
lequel
les
pointes
des
branches
sont
garnies
de
boules,
enfin,
un
cinquième
type,
pendant
les
Cent-Jours,
où
apparaît
une
pampille
de
ruban
à
la
jonction
des
branches
de
chêne
et
de
laurier.
Par
la
suite,
couronne
et
centres
seront
modifiés
suivant
les
régimes
politiques,
mais
jusqu'à
nos
jours,
la
forme
générale
a
été
conservée.
*
LH;
MM
pp.
178
et
ss.;
CB
pp.
49
et
ss.;
AC;
BMCD;
AS3
pp.
74
et
ss.
Prestation
de
serment
du
général
Campredon.
Papier.
31,2
cm
X
20
cm.
[194].
Accusé
de
réception
du
procès-verbal
de
la
prestation
de
serment
du
général
Campredon,
signé
par
Lacépède
à
Paris
le
12
ventôse
an
12.
Le
général
de
division
J.D.M.
de
Campredon,
commandant
de
la
Légion
d'Honneur
le
25
prairial
an
12,
sera
par
la
suite
Grand-Croix
de
l'Ordre
des
Deux-Siciles
(1808),
chevalier
(1814),
commandeur
(1823)
puis
grand-croix
(1827)
de
l'Ordre
du
Mérite
Militaire,
baron
d'Empire
(1810)
et
grand-officier
de
la
Légion
d'Honneur
(1814).
Lettre
de
sollicitation
du
général
Franceschi.
Papier.
33,5
cm
X
21,8
cm.
[238].
Lettre
datée
d'Aix-la-Chapelle
le
2
messidor
an
12
(24
juin
1804),
du
général
Franceschi
à
Joseph
Bonaparte
par
laquelle
il
sollicite
le
grade
de
commandant
de
cohorte
de
la
Légion
d'Honneur.
Le
général
J.B.M.
Franceschi
(1766-1813)
sera
nommé
commandant
de
la
Légion
d'Honneur
pour
prendre
rang
dans
l'Ordre
à
la
date
du
14
juin
1804
et
baron
d'Empire
en
1810.
Médaille
de
la
fondation
de
la
Légion
d'Honneur.
Médaille
en
plomb.
[226]
Par
Andrieu
et
Jaley,
elle
commémore
la
fondation
de
l'Ordre
de
la
Légion
d'Honneur.
Avers:
tête
laurée
de
Napoléon,
à
droite.
Revers:
l'étoile
de
la
Légion
d'Honneur
avec
la
devise
de
l'Ordre
et
l'inscription:
AUSPICE
NEAPOLEONE
GALLIA
RENOVATA..
*
LB
n°
310._
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Premier
type.
|

|
Etoile
de
chevalier
en
argent.
[330].
Modèle
du
premier
type
à
petite
tête
sur
fond
rayonnant.
Anneau
lisse.
39
mm.
Le
maréchal
Jourdan.
Lithographie
de
Delpech.
32cm
X
43cm.
[106].
Portrait
du
maréchal
Jourdan
en
uniforme
de
maréchal
d'Empire
(1804)
et
portant
les
insignes
de
Grand-Aigle
de
la
Légion
d'Honneur.
Le
maréchal
Jourdan
était
chef
de
la
16°
cohorte
(Piémont).
Lettre
du
Duc
de
Brunswick
relative
à
la
Légion
d'Honneur.
Papier,
184
mm
X
225
mm.
[434].
Lettre
datée
d'Halberstad,
le
22
avril
1805:
"Je
viens
de
recevoir
les
marques
que
l'orgueil
et
la
vanité
firent
naître,
et
dont
la
faiblesse
est
souvent
forcée
de
se
décorer
(…)
il
me
reste
à
vous
prier
de
faire
l'amplette
d'une
boîte
pour
Mr
de
la
Forêt
du
prix
de
celle
que
le
d.
Ferdinand
lui
a
donnée.
Vous
aurez
la
bonté
de
m'instruire
du
prix
exact
et
du
nom
du
marchand
pour
que
je
puisse
tout
de
suite,
de
Bronswic,
lui
faire
passer
le
paiement,
et
vous
ajouterez
à
toutes
vos
complaisances
celle
de
remettre
ce
cadeau
au
Ministre
de
France
en
y
ajoutant
des
phrases
obligeantes
de
ma
part.
On
dit
que
le
marchl
Bernadotte
va
assister
aux
revues
de
Berlin
et
se
rendre
de
là
à
celles
de
Magdebourg;
si
vous
en
apprenez
quelque
chose,
vous
m'obligerez
beaucoup
en
m'avertissant
de
cette
visite;
tandis
qu'on
renverse
et
crée
des
thrones,
nous
sommes
aux
aguets
pour
connaître
les
plans
de
voyages
que
les
prêteurs
de
la
grande
nation
se
proposent
de
faire
chez
les
nations
amies.
Je
suis
bien
loin
de
faire
des
observations
sur
la
sortie
et
la
soudaine
rentrée
de
la
flotte
de
Brest,
mais
si
l'on
n'a
voulu
que
manoeuvrer,
on
dirait
presque
que
la
manœuvre
a
été
dérangée
par
la
présence
de
la
flotte
ennemie.
(…)."
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Deuxième
type.
|

|
Etoile
de
chevalier
en
argent.
57mm
X
35.5mm.
[209].
Dans
le
style
du
premier
type
à
grosse
tête
modifié
par
adjonction
d'une
couronne
bi-articulée
à
douze
palmettes.
Feuillage
de
laurier
uniquement.
Anneau
lisse.
Ruban
à
deux
couleurs:
Légion
d'Honneur
et
Couronne
de
Fer
d'Italie.
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Deuxième
type.
|

|
Etoile
de
chevalier
en
argent
à
couronne
soudée.
52mm
X
35mm.
[295].
A:
Grosse
tête
sur
fond
rayonnant.
Anneau
lisse
à
deux
poinçons.
Recommandation
pour
une
promotion
dans
l'Ordre.
Papier
filigrané
au
profil
de
l'Empereur.
31.5
cm
X
21
cm.
[391].
Lettre
du
Prince
Borghèse
Aldobrandini,
Grand
Dignitaire
de
l'Ordre
de
la
Couronne
de
Fer,
colonel
du
4°
régiment
de
cuirassiers,
au
Grand
Chancelier
de
la
Légion
d'Honneur
pour
appuyer
la
demande
de
quatre
étoiles
pour
des
officiers
de
son
régiment,
entre
autres
le
premier
chef
d'escadron
Murat
Sistière.
Datée
d'Erlang
le
18
octobre
1808.
Michel
François
de
Sistière,
baron
puis
comte
de
Murat,
(1765-1825),
blessé
à
Essling
et
à
Wagram,
colonel
en
1809,
officier
de
la
Légion
d'Honneur,
général
de
brigade
en
1813,
fut
créé
chevalier
de
Saint-Louis
le
13
février
1815.
François
Borghèse,
Prince
Aldobrandini,
frère
du
Prince
Camille,
fut
Grand
Dignitaire
de
l'Ordre
de
la
Couronne
de
Fer,
Grand
Croix
de
l'Ordre
de
la
Réunion
le
3
avril
1813
et
Chevalier
de
Saint-Louis
le
24
octobre
1814.
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Troisième
type.
|

|
Etoile
de
chevalier
en
argent.
57mm
X
36mm.
[297].
Modèle
d'orfèvre
présentant
une
étoile
plus
épaisse
et
une
grosse
couronne
à
huit
fleurons
(orfèvre
Coudray
à
Paris
?).
Poinçon
sur
l'anneau
cannelé.
Le
Procureur
impérial
Caron
et
la
Légion
d'Honneur.
Feuillet
imprimé.
32
cm
X
10,7
cm.
[293].
En-tête
représentant
une
étoile
de
la
Légion
d'Honneur
du
premier
type.
Pièce
en
vers
écrite
à
l'occasion
de
la
nomination
dans
la
Légion
d'Honneur
du
Procureur
impérial
Caron.
Boulogne,
1810.
Lettre-brevet
d'officier
de
la
Légion
d'Honneur.
Papier
partiellement
imprimé.
31,5
cm
X
20,4
cm.
[210].
Lettre
de
désignation
comme
officier
de
la
Légion
d'Honneur
du
colonel
O'Meara,
signée
par
le
Grand
Chancelier
de
Lacépède
à
Paris
le
18
juillet
1809.
Guillaume
O'Meara
(1764-1828)
sera
fait
baron
de
l'Empire
le
15
août
1809
et
général
de
brigade
en
1813.
Chevalier
de
Saint-Louis
depuis
1793,
il
sera
aussi
commandeur
de
l'Ordre
militaire
de
Charles
Frédéric
de
Bade.
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Troisième
type
modifié.
|

|
Etoile
de
chevalier
de
la
Légion
d'Honneur
en
argent.
55
mm
X
36
mm.
[101].
Troisième
type
à
centres
Seconde
Restauration.
Poinçon
au
faisceau
de
licteur.
Dossier
du
commandant
Joseph
Blanc,
officier
de
la
Légion
d'Honneur.
Ensemble
de
douze
documents
sur
papier.
[400,
partim]
Voir
aussi
sous
la
rubrique
Couronne
de
Fer
d'Italie,
le
dossier
de
son
frère,
Syphorien.
1.
Nomination
à
l'emploi
de
capitaine
au
36ème
d'infanterie,
signée
par
le
Comte
d'Hunebourg
à
Paris
le
1
avril
1809.
2.
Information
de
la
nomination
comme
membre
de
la
Légion
d'Honneur,
signée
par
Berthier
à
Compiègne
le
5
septembre
1811.
3.
Lettre
circulaire
signée
par
Lacépède,
portant
autorisation
de
porter
le
ruban
de
l'ordre
en
attendant
la
remise
officielle
de
l'Aigle.
4.
Note
portant
communication
du
numéro
du
brevet
de
membre
de
la
Légion
d'Honneur.
5.
Nomination
au
grade
de
chef
de
bataillondans
la
ligne
pour
servir
comme
capitaine
dans
les
bataillons
bis
de
la
Vieille
Garde;
fait
à
Paris
le
3
février1813
et
signé
par
le
Duc
de
Feltre.
6.
Information
de
la
nomination
comme
officier
de
la
Légion
d'Honneur,
signée
par
Berthier
à
Paris
le
21
novembre
1813.
7.
Duplicata
de
la
lettre-brevet
d'officier
de
la
Légion
d'Honneur
signé
parc
Lacépède
et
authentifié
sous
la
Première
Restauration
par
le
maire
de
Saint-Maurice.
8.
Certificat
de
maintient
en
jouissance
du
traitement
de
non
activité
délivré
à
Paris
le
24
juillet
1819.
9.
Lettre
d'envoi
du
brevet
d'officier
de
la
Légion
d'Honneur
du
type
Restauration;
Paris,
6
août
1821.
10.
Demande
de
renseignements
pour
un
certificat
de
vie;
Grande
Chancellerie,
Paris,
24
août
1822.
11.
Extrait
de
la
liquidation
de
pension
portant
mention
des
états
de
service;
Monarchie
de
Juillet.
12.
Lettre
circulaire
portant
mention
du
montant
d'une
pension
viagère
de
retraite
de
2.130
francs.
Paris,
10
janvier
1832.
Né
à
Saint-Maurice,
Drôme,
le
30
mai
1773,
Joseph
Blanc
entre
à
la
17ème
légère
le
2
août
1792.
Lieutenant
le
2
août
1793,
il
démissionne
le
17
mars
1796
après
avoir
fait
campagne
dans
les
Pyrénées
Orientales
et
à
l'Armée
des
Alpes.
Lieutenant
au
1er
bataillon
auxiliaire
de
la
Drôme
incorporé
dans
le
4ème
de
ligne
le
4
juillet
1800
(Armée
d'Italie);
en
réforme
du
22
octobre
1800
au
11
avril
1808.
Lieutenant
au
4ème
de
ligne
à
nouveau
le
12
avril
1808
puis
au
30ème
de
ligne
le
16
juin
de
la
même
année.
Capitaine
au
36ème
de
ligne
le
27
mars
1809;
blessé
le
23
avril
1809
devant
Ratisbonne.
Chevalier
de
la
Légion
d'Honneur
le
26
août
1811;
blessé
le
22
juillet
1812
à
la
bataille
des
Arapilles.
Chef
de
bataillon
pour
servir
comme
capitaine
dans
les
bataillons
bis
de
Vieille
Garde
le
29
janvier
1813;
au
1er
voltigeurs
de
la
Garde
le
12
février
1813.
Campagnes
de
1809
à
1814
en
Allemagne,
Espagne
et
à
la
Grande
Armée.
Blessé
le
26
août
1813
à
Dresde
et
le
29
janvier
1814
à
Brienne.
Officier
de
la
Légion
d'Honneur
le
28
novembre
1813.
Au
régiment
de
chasseurs
de
la
Garde
Royale
le
1
juillet
1814;
au
1er
Chasseurs
à
pied
le
1
avril
1815;
campagne
de
1815
à
l'Armée
du
Nord.
En
demi-solde
le
18
octobre
1815
et
retraité
le
12
août
1831.
Certificat
d'existence
du
général
Soult.
Papier,
31.2
cm
X
20.6
cm.
[231].
Certificat
d'existence
du
général
de
brigade
P.B.
Soult,
officier
de
la
Légion
d'Honneur,
destiné
à
la
trésorerie
de
la
Grande
Chancellerie
de
la
Légion
d'Honneur,
daté
de
Grenade
le
1
janvier
1812.
Frère
du
maréchal,
le
général
Soult
sera
promu
grand-croix
de
la
Légion
d'Honneur
en
1831.
Lettre-circulaire
(1812).
Papier
imprimé,
partiellement
manuscrit.
31
cm
X
20,5
cm.
[467]
Lettre
adressée
par
le
Grand
Chancelier,
probablement
aux
chefs
de
corps,
afin
de
demander
communication
des
décès,
promotions,
cessations
d’activité
et
passages
dans
d’autres
corps
des
militaires
décorés
de
la
Légion
d’Honneur.
Daté
de
Paris
le
29
juillet
1812.
Portrait
d'un
officier
décoré
de
la
Légion
d'Honneur.
|

|
Huile
sur
toile.
17
cm
X
22
cm.
[157].
Petit
portrait
d'un
officier
(des
chasseurs
à
pied
de
la
Garde?)
portant
une
croix
de
chevalier
de
la
Légion
d'Honneur.
Dossier
Crooy.
Ensemble
de
trois
documents.
[404].
a)
Lettre
brevet
de
chevalier
de
la
Légion
d'Honneur.
Papier
partiellement
imprimé;
20,5
cm
X
31,7
cm.
Signé
à
Paris
le
2
septembre
1812
par
le
Grand
Chancelier
Ministre
d'Etat
Lacépède,
en
faveur
de
"Monsieur
Crooy,
Chevalier
de
la
Légion
d'Honneur,
Chevalier
de
l'Empire,
Capitaine
dans
le
11°
régiment
de
hussards."
b)
Lettre
de
la
chancellerie
de
l'Ordre
Militaire
de
Guillaume.
Papier
partiellement
imprimé;
20,5
cm
X
24,5
cm.
Signé
à
Bruxelles
le
21
octobre
1816
par
le
général
Janssens
prévenant
le
major
Crooy
de
ce
que
"Sa
Majesté
Très
Chrétienne
vous
a
de
nouveau
confirmé
comme
chevalier
de
l'Ordre
Royal
de
la
Légion
d'Honneur
et
que
Notre
Souverain
vous
autorise
à
en
porter
la
décoration,
telle
que
la
forme
en
a
été
décrétée
par
S.
M.
T.
C.
pour
ceux
de
ses
sujets,
qui
sont
revêtus
de
cette
marque
de
distinction."
c)
Brevet
de
la
Légion
d'Honneur;
vélin
37
cm
X
44,2
cm.
Signé
à
Paris
par
le
Grand
Chancelier
Mac
Donald
le
15
octobre
1817,
admettant
"le
sieur
Crooi
Louis,
Jacques,
Adolphe,
né
le
sept
juillet
mil
sept
cent
quatre
vingt
sept
à
Tongres,
major
au
service
de
sa
majesté
le
Roi
des
Pays-Bas"
comme
chevalier
de
la
Légion
d'Honneur
"à
dater
du
deux
septembre
mil
huit
cent
douze"
L.
A.
J.
Crooy
entra
au
service
en
Hollande
en
1800
comme
cadet
au
régiment
de
hussards.
En
1805,
il
était
sous
lieutenant
des
hussards
hollandais
dans
les
troupes
bataves
jointes
au
2°
corps
français
en
Autriche.
Il
participe
à
la
campagne
de
Prusse.
Premier
lieutenant
en
1807;
capitaine
en
1809.
A
l'annexion
de
la
Hollande
par
l'Empire,
il
passe
avec
son
grade
au
11°
régiment
de
hussards
de
l'armée
française
avec
lequel
il
part
en
Russie
où
il
est
fait
prisonnier.
Rentré
aux
Pays-Bas
en
1814,
étant
chevalier
de
la
Légion
d'Honneur
depuis
le
2
septembre
1812
(notons
que
le
titre
de
chevalier
de
l'Empire
qui
lui
est
attribué
sur
son
premier
brevet
ne
semble
pas
avoir
fait
l'objet
d'attribution
de
lettres
patentes),
il
y
prend
du
service
et
est
nommé
commandant
au
régiment
de
dragons
n°
5.
Combat
à
Waterloo
et
est
fait
chevalier
de
l'Ordre
Militaire
de
Guillaume,
étant
adjudant-major,
le
18
juillet
1815.
Major
en
1816,
passe
au
régiment
de
dragons
n°
4
en
1819,
est
nommé
lieutenent
colonel
en
1826
et
colonel
commandant
ce
régiment
en
1830.
Démissionne
du
service
des
Pays-Bas
en
1830;
entre
au
régiment
de
cuirassiers
belges
en
formation
à
Liège
en
novembre
1830,
mais
se
retire
du
service
en
décembre.
Pensionné
en
1835,
il
décède
en
1842.(
cf
Mémoires
de
J.
B.
Dumonceau,
tome
III,
p.
431
n.
1;
F.
Bernaert:
Fastes
militaires
des
Belges
au
service
de
la
France,
p.
20;
H.
Vigneron:
La
Belgique
militaire,
t.2,
p.396).
Est-ce
le
même
que
celui
cité
sous
le
nom
De
Crooy
in
Le
Livre
d’Or
de
l’Ordre
de
Léopold,
t.2,
p.94
?
Portrait
d'un
officier
décoré
de
la
Légion
d'Honneur.
|

|
Huile
sur
toile.
89
cm
x
79.5
cm.
[248].
Officier
portant
une
étoile
de
chevalier
sur
un
habit
bleu
à
collet
et
revers
verts,
boutons
dorés
au
chiffre
24,
épaulette
et
contre-épaulette
dorées.
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Cinquième
type.(?).
Argent.
Anneau
strié.
Ruban.
61
mm
X
37
mm.
[362].
Etoile
de
chevalier
du
5°
type
avec
boules
et
pampilles
(Cent-Jours).
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Cinquième
type.
|

|
Argent,
48
mm
X
30
mm.
[195].
Etoile
en
réduction
demi-taille
d'un
cinquième
type
en
argent.
Poinçon
au
faisceau
de
licteur
sur
l'anneau.
Plaque
de
Grand
Aigle
de
la
Légion
d'Honneur.
|

|
H.:
86
mm;
diamètre
du
centre:
33
mm.
[358].
Plaque
de
Grand
Aigle
ou
de
Grand
Officier
en
broderie
et
paillettes
d'argent;
centre
entièrement
métallique,
en
trois
parties.
Le
cercle
portant
la
devise
est
orné
de
six
abeilles
et
d'une
étoile.
Au
revers,
l'étiquette
du
fabricant
viennois:
"André
Alckens
/
bourgeois
et
brodeur
/
de
la
Cour
Imp.
Roy.
/
à
Vienne
/
loge
au
Faubourg
Maria
/
Hilf
près
de
la
dite
Eglise
/
à
l'étoile
blanche
/
N°
15.
cf.
chapitre
"Russie.
Ordre
de
Saint-André".
*AS3
p.276
Napoleone.
Gravure
dessinée
et
gravée
par
Calamatta
d'après
le
plâtre
original
moulé
à
Sainte-Hélène
par
le
docteur
Antomarchi.
(1834).
Autour
du
masque
lauré
de
l'Empereur,
le
grand
cordon
de
la
Légion
d'Honneur
et
l'épée
de
l'Institut.
Almanach
impérial.
Exemplaires
de
1809
et
de
1812.
Livres.
[185].
Ils
contiennent
les
noms
des
titulaires
des
trois
premières
classes
de
la
Légion
d'Honneur
classés
par
date
de
nomination,
ainsi
que
les
noms
des
Français
décorés
des
classes
supérieures
d'ordres
étrangers:
Couronne
de
Fer
d'Italie;
Fidélité
et
Mérite
Militaire
de
Bade;
Saint-Hubert,
Mérite
Militaire,
Saint-Georges
et
Lion
de
Bavière;
Ordre
du
Christ
du
Brésil;
Ordre
de
l'Eléphant
et
Danebrog
de
Danemark;
Toison
d'Or
et
Charles
III
d'Espagne;
Ordre
Royal
de
Hollande;
Ordre
des
Deux-Siciles;
Soleil
de
Perse;
Aigle
Noir
et
Aigle
Rouge
de
Prusse;
Saint-André
et
Saint-Wladimir
de
Russie;
Saint-Henri,
Aigle
Blanc
et
Couronne
de
Saxe;
Ordre
Militaire
de
Pologne;
Aigle
d'Or,
Mérite
Militaire
et
Mérite
Civil
de
Wurtemberg;
Saint-Joseph
de
Wurtzbourg;
etc...
Brevet
de
Grand'Croix
de
Lacépède.
53
cm
x
43.5
cm.
[333]
Brevet
sur
vélin
partiellement
imprimé,
attribué
"au
sieur
de
la
Ville
sur
Illon,
comte
de
Lacépède
(Bernard-Germain-Etienne)
(...)
Membre
de
l'Académie
Royale
des
Sciences,
de
la
Société
Royale
de
Londres
etc,
etc,
l'un
des
Professeurs
administrateurs
de
notre
Museum
d'Histoire
naturelle".
Donné
aux
Tuileries
le
16
août
1816
pour
prendre
rang
à
la
date
du
2
février
1805.
Pièce
signée
Louis,
Macdonald
et
le
secrétaire
général
de
l'Ordre.
Sceau
sur
papier
de
la
Grande
Chancellerie.
*AC
p.
80.
Bernard
Germain
Etienne
de
Laville
sur
Illon,
comte
de
Lacépède,
né
à
Agen
en
1756,
mort
à
Epinay-sur-Seine
en
1825,
célèbre
zoologiste,
élève
et
continuateur
de
Buffon,
fut
député
à
l'Assemblée
Législative,
membre
de
l'Institut
en
1795,
président
du
Sénat
et
titulaire
de
la
Sénatorerie
de
Paris.
Grand
Chancelier
de
la
Légion
d'Honneur
en
1803,
il
quitte
cette
fonction
lors
de
la
première
abdication.
Aux
Cent-Jours,
il
est
nommé
Grand
Chancelier
inamovible
et
Pair
de
France
(confirmation
de
ce
titre
par
le
Roi
en
1819).
Comte
de
l'Empire
en
1808,
il
quitte
définitivement
la
Grande
Chancellerie
lors
de
la
seconde
abdication.
Brevet
de
chevalier.
Seconde
Restauration.
Vélin
partiellement
imprimé,
avec
sceau
sur
papier
de
l'Ordre.
44,1
cm
X
37
cm.
[460].
Brevet
daté
du
Château
des
Tuileries
le
26
septembre
1818,
régularisant
la
nomination
au
grade
de
chevalier
du
14
avril
1807
de
Victor
Dury,
chirurgien
major
au
régiment
d'Auxonne,
artillerie
à
pied.
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Seconde
Restauration.
Etoile
de
chevalier
en
argent
poinçonnée
sur
la
pampille.
[266].
68
mm
X
44
mm.
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Seconde
Restauration.
Réduction
de
37
mm
d'une
étoile
de
chevalier
de
la
Légion
d'Honneur
époque
Seconde
Restauration.
[122].
Anneau
cannelé.
Sans
poinçon.
Dossier
Raimbaux.
Monarchie
de
Juillet.
Deux
documents
sur
papier.
[225].
a)
Ordonnance
du
roi
Louis-Philippe
nommant
le
sieur
Raimbaux,
directeur
des
mines
du
Grand
Hornu,
district
de
Mons
(Belgique),
chevalier
de
la
Légion
d'Honneur.
Palais
des
Tuileries
4
avril
1841.
Papier
partiellement
imprimé
avec
timbre
sec
du
Ministère
des
Travaux
Publics.
30.8
cm
X
20.2
cm.
b)
Lettre
d'accompagnement
de
l'ampliation
de
l'ordonnance
royale
adressée
de
Paris
le
9
avril
1841
par
le
Sous-Secrétaire
d'Etat
des
Travaux
Publics.
Papier
partiellement
imprimé.
26.1
cm
X
20
cm.
Emile
Raimbeaux
était
le
principal
propriétaire
des
concessions
du
Grand-Hornu
et
du
Grand-Buisson,
dans
le
Borinage.
Il
dirigeait
l'exploitation
de
ces
deux
charbonnages
et
participa
à
l'exploitation
de
houillères
françaises.
(Marles).
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Monarchie
de
Juillet.
Etoile
de
chevalier
en
argent,
du
type
de
la
Monarchie
de
Juillet.
[118].
70
mm
X
46
mm.
Dossier
Montesquiou-Fézensac.
Ensemble
de
quatre
documents.
[369].
a)
Lettre
d'avis
de
nomination
du
comte
Anatole
de
Montesquiou,
maréchal
de
camp,
à
la
dignité
de
Grand
Officier
de
la
Légion
d'Honneur.
Ministère
de
la
Guerre.
Paris
21
avril
1831.
Papier,
21
cm
x
31.5
cm.
b)
Lettre
d'avis
d'attribution
du
traitement
de
Grand
Officier
de
la
Légion
d'Honneur
adressée
au
général
comte
de
Montesquiou,
Grand
Officier
de
la
Légion
d'Honneur,
à
Paris.
Grande
Chancellerie.
Paris
17
avril
1863.
Papier
21
cm
X
30
cm.
c)
Lettre
relative
aux
insignes
"à
titre
militaire"
de
commandeur
de
l'Ordre
de
Léopold
de
Belgique
adressée
par
le
Ministère
belge
des
Affaires
étrangères
au
lieutenant
général
comte
de
Montesquiou,
Pair
de
France,
chevalier
d'honneur
de
S.M.
la
Reine
des
Français
à
Paris.
Bruxelles
10
août
1844.
Papier
33.5
cm
X
21
cm.
d)
Lettre
d'avis
de
nomination,
par
arrêté
royal
du
29
juillet
1857,
au
grade
de
Grand
Cordon
de
l'Ordre
de
Léopold
de
Belgique
du
général
comte
de
Montesquiou-Fézensac.
Ministère
des
Affaires
étrangères
à
Bruxelles.
Papier
20.8
cm
X
33.2
cm.
Ambroise-Anatole-Augustin
de
Montesquiou-Fézensac
(1788-1875),
baron
de
l'Empire
(1810),
colonel
(1813)
et
officier
d'ordonnance
de
l'Empereur,
chevalier
d'honneur
de
la
Duchesse
d'Orléans
(1823),
maréchal
de
camp
(1831),
Pair
de
France
(1841)
était
le
deuxième
fils
du
comte
Anne-Elisabeth-Pierre,
grand-chambellan
de
l'Empereur,
et
de
L.-C.-F.
Le
Tellier
de
Louvois-Courtanvaux
de
Montmirail,
gouvernante
des
Enfants
de
France.
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Monarchie
de
Juillet.
Etoile
de
chevalier
en
argent.
Réduction
demi-taille
de
47
mm.
Poinçon
sur
la
pampille.
[267].
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Monarchie
de
Juillet.
Réduction
en
argent
de
20
mm
d'une
étoile
de
chevalier.
Manque
le
centre
du
revers.
[123].
Etoile
hybride.
Monarchie
de
Juillet.
Réduction
en
argent
de
31
mm
d'une
étoile
de
chevalier
de
la
Monarchie
de
Juillet
avec
des
centres
Second
Empire.
[61].
Anneau
cannelé.
Insignes
de
la
Légion
d'Honneur
de
la
famille
Margot.
Ensemble
de
trois
croix.
[368].
a)
Etoile
de
chevalier
de
la
Légion
d'Honneur
du
type
de
la
Monarchie
de
Juillet.
Poinçon
sur
la
pampille.
65
mm.
Cette
étoile
a
appartenu
à
Claude
Margot,
commandant
de
la
place
de
Maubeuge.
b)
Etoile
de
chevalier
de
la
Légion
d'Honneur
(type
de
la
Présidence)
et
photo
de
son
titulaire,
le
capitaine
d'artillerie
Jean-Victor
Margot,
fils
du
précédent.
Poinçon
sur
la
pampille.
70
mm.
c)
Etoile
d'officier
de
la
Légion
d'Honneur
(type
de
la
Troisième
République)
en
métal
doré
et
ruban
à
rosette,
et
photo
de
son
titulaire,
le
colonel
d'artillerie
Jules
Margot,
neveu
du
précédent.
59
mm.
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Second
Empire.
Etoile
de
chevalier
en
argent.
Poinçon
sur
la
pampille.
60
mm.
[136].
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Second
Empire.
Etoile
d'officier
en
or.
Ruban
à
rosette.
Poinçons
sur
l'anneau
et
sur
la
pampille.
60
mm.
[120].
Brevet
de
l'Ordre
Impérial
de
la
Légion
d'Honneur.
Parchemin
partiellement
imprimé.
49
cm
X
40.5
cm.
[255].
Brevet
de
chevalier
de
la
Légion
d'Honneur
attribué
à
Eugène-Emile-Oscar
Ritter,
lieutenant
au
4°
régiment
de
chasseurs,
né
le
21
juillet
1829
à
Le
Quesnoy
(Nord).
Fait
au
Palais
des
Tuileries
le
1
mai
1860
pour
prendre
rang
à
compter
du
25
juin
1859.
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Troisième
République.
Etoile
de
chevalier
en
argent.
Poinçon
sur
la
pampille.
59
mm.
[137].
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Troisième
République.
Miniature
de
21
mm
d'une
étoile
de
chevalier;
boules
ornées
de
petites
pierres.
[138].
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Troisième
République.
Etoile
d'officier
en
métal
doré.
Modèle
de
luxe
à
filet.
Ruban
à
rosette.
Poinçon
sur
la
pampille.
61
mm.
[268].
Légion
d'Honneur
et
Palmes
Académiques.
Chaînette
en
or
supportant
les
miniatures
d'une
étoile
de
chevalier
de
la
Légion
d'Honneur
(type
Troisième
République)
et
des
Palmes
Académiques.
[140].
Plaque
et
Grand
Croix
de
la
Légion
d'Honneur.
Plaque
en
argent,
repercée
et
taillée
à
pointes
de
diamants.
[124]
Grand
cordon
avec
large
rosette
auquel
est
appendue
une
étoile
de
79
mm.
Poinçon
sur
la
pampille.
[125].
Croix
d'officier
3ème
République.
Etoile
d'officier
en
vermeil.
[435].
Modèle
de
luxe
de
la
maison
Arthus-Bertrand
à
Paris.
Etoile
de
la
Légion
d'Honneur.
Cinquième
République.
Etoile
de
chevalier
en
métal
argenté.
59
mm.
[127].
ORDRE
IMPERIAL
DES
TROIS
TOISONS
D'OR.
L'Ordre
des
Trois
Toisons
d'Or
fut
créé
par
Napoléon
à
Schönbrunn
le
15
août
1809.
Il
ajoutait
ainsi
aux
deux
Toisons
d'Or
existantes
(Autriche
et
Espagne)
celle
du
conquérant.
Essentiellement
militaire,
bien
que
des
chevaliers
aient
été
nommés,
l'Ordre
fut
supprimé
en
1813
pour
des
raisons
politiques
diverses
sans
que
les
insignes
en
aient
été
distribués,
et
ses
biens
furent
réunis
à
ceux
de
la
Légion
d'Honneur.
*AS3
p.
62;
MM
p.
264;
LH
n°
466
et
ss.
Insigne
de
chevalier
de
l'Ordre
Impérial
des
Trois
Toisons
d'Or.
|

|
Insigne
de
fabrication
moderne
d'après
les
projets
et
dessins
d'époque
de
l'orfèvre
Coudray.
Bronze
doré,
émaux
et
pierreries.
134
mm
X
59
mm.
[112].
ORDRE
IMPERIAL
DE
LA
REUNION.
Créé
à
Amsterdam
le
18
octobre
1811
par
Napoléon
pour
"récompenser
les
services
rendus
dans
l'exercice
des
fonctions
judiciaires
ou
administratives
et
dans
la
carrière
des
armes",
cet
ordre
rassemblait
dans
son
insigne
les
symboles
des
diverses
parties
du
grand
empire
napoléonien:
l'Aigle
impériale,
le
Lion
hollandais,
les
Flèches
des
provinces
néerlandaises,
le
Lion
de
Florence,
la
Fleur
de
Lys
étrurienne,
les
Tridents
de
Gênes
et
de
Hambourg
et
la
Louve
romaine.
L'Ordre,
qui
ne
fut
plus
décerné
sous
la
Première
Restauration,
reprit
force
et
vigueur
pendant
les
Cent-Jours
avant
d'être
aboli
par
ordonnance
royale
du
28
juillet
1815.
Les
titulaires
durent
renvoyer
leurs
insignes
à
l'Hôtel
de
la
Monnaie
où
ils
furent
fondus
au
profit
de
la
Légion
d'Honneur.
L'Ordre
de
la
Réunion
comportait
trois
classes:
chevaliers,
commandeurs
et
grands-croix.
L'insigne
en
or
était
suspendu
à
un
ruban
bleu
ciel.
*LH
n°
437
et
ss.;
AS3
pp.
64
et
ss.;
CB
pp.
131
et
ss.;
MMW
p.
23;
JLS.
Insigne
de
l'Ordre
de
la
Réunion.
|

|
61
mm
X
33
mm.
[299].
Insigne
de
chevalier
en
or,
poinçonné
à
la
tête
de
coq
sur
anneau
lisse.
Ruban
bleu
à
bouffette.
Exemplaire
de
la
collection
Bourdier
reproduit
in
CB
p.
132
B.
Réduction
d'un
insigne
de
l'Ordre
de
la
Réunion.
|

|
Réduction
de
26
mm
X
14
mm
en
or
d'un
insigne
de
chevalier.
Poinçon
à
la
tête
de
coq
(1809-1819)
sur
l'anneau
cannelé.
[312].
Promotions
dans
l'Ordre
de
la
Réunion.
172
mm
X
231
mm.
[385].
Lettre
sur
papier
à
en-tête
du
Ministère
de
la
Guerre
relative
à
la
nomination
du
général
Boni
et
du
colonel
Fargeot
comme
chevaliers
de
l'Ordre
de
la
Réunion.
Paris,
le
8
octobre
1813.
François
Bony
(1772-1848),
volontaire
de
1793,
fait
les
campagnes
de
la
République
et
de
l'Empire,
est
nommé
chevalier
de
l'Empire
le
20/06/1812.
Général
de
brigade
en
1813;
blessé
et
fait
prisonnier
à
Leipsig;
chevalier
de
l'Ordre
de
la
Réunion
le
8/10/1813;
chevalier
de
l'Ordre
de
Saint-Louis;
combat
à
Waterloo;
commandeur
de
la
Légion
d'Honneur
le
20/03/1820.
Propositions
pour
la
décoration
de
l'Ordre
de
la
Réunion.
Papier.
[386].
Etat
nominatif
des
officiers
proposés
pour
la
décoration
de
l'Ordre
de
la
Réunion
émanant
de
la
brigade
du
général
Laczynski.
Fontainebleau,
avril
1814.
Sont
proposés:
le
major
Desvati
(?),
l'adjudant-major
Héger,
le
capitaine
aide-de-camp
Rzetkowski,
le
lieutenant
aide-de-camp
Stawiski.
Le
nom
du
général
Laczynski
a
été
écrit
en
tête
de
liste
d'une
autre
main.
Joseph
Laczynski,
officier
polonais
au
service
de
l'Empire,
fut
nommé
général
de
brigade
en
1812.
NOBLESSE
D'EMPIRE.
Lettres-patentes
de
comte
de
l'Empire.
Parchemin
61
cm
X
47
cm.
Grand
sceau
de
l'Etat
en
cire
rouge
sur
rubans
de
soie
jaune.
[83].
Lettres-patentes
attribuant
le
titre
de
comte
de
l'Empire
à
"Pierre
François
Réal,
commandant
de
la
Légion
d'Honneur,
âgé
de
51
ans,
né
à
Chatou,
département
de
Seine-et-Oise,
conseiller
d'Etat
à
vie."
Donné
à
Bayonne
le
24
avril
1808.
Signatures
autographes
de
Napoléon
et
de
Cambacérès.
P.-F.
Réal
(1757-1834),
procureur
au
Châtelet
avant
la
Révolution,
commissaire
du
Directoire
Exécutif
(Police
de
Paris),
Conseiller
d'Etat
(Section
de
Législation),
un
des
principaux
rédacteurs
du
Code
civil,
"spécialement
chargé
de
l'instruction
et
de
la
suite
de
toutes
les
affaires
relatives
à
la
tranquillité
et
à
la
sûreté
intérieure
de
la
République"
(affaires
Pichegru,
Moreau
et
duc
d'
Enghien),
attributaire
du
1°
arrondissement
de
Police
(Nord,
Ouest
et
Est)
en
1804,
sorte
de
vice-ministre
de
la
police;
écarté
à
la
Première
Restauration,
préfet
de
police
aux
Cent-Jours.
Porté
sur
les
listes
de
proscription
après
Waterloo,
il
s'exile
aux
Etats-Unis
et
ne
rentre
en
France
qu'en
1827.
Lettres-patentes
de
chevalier
de
l'Empire.
Parchemin;
52cm
X
42
cm.
[440].
Lettres-patentes
données
à
Paris
le
9
mars
1810
accordant
le
titre
de
chevalier
à
"Benoit
Pistre,
chef
d'escadron
au
dix-huitième
régiment
de
dragons,
membre
de
la
Légion
d'Honneur,
né
le
dix-huit
décembre
mil
sept
cent
soixante
quatre
à
Trévoux,
département
de
l'Ain
(…)
lequel
titre
nous
attachons
à
toujours
aux
biens
indiqués
dans
notre
décret
du
quatre
juin
mil
huit
cent
neuf,
lesquels
consistent
en
une
ferme
dite
Blanckenhainer
Klostergau,
bâtiments
et
dépendances,
terres,
prés,
et
jardins
en
dépendant,
plus
dixsmes,
droit
de
pêche,
terres
labourables;
le
tout
dépendant
du
baillage
de
Hersfeld,
situé
commune,
canton
et
district
de
Hersfeld,
département
de
la
Werra"
Document
signé
Napoléon
et
Cambacérès.On
remarquera
que
le
règlement
d'armoiries
porte
un
palmier
(…)
accompagné
de
deux
étoiles,
alors
que
le
dessin
représent
le
palmier
accompagné
de
deux
croissants
de
lune.
Le
chef
d'escadron
Pistre
avait
été
blessé
à
Elchingen
le
14
octobre
1805,
à
Austerlitz
le
2
décembre
de
la
même
année
et
à
Friedland
le
14
juin
1807.
Lettre
au
prince
Cambacérès.
Papier.
[176].
Lettre
adressée
par
un
comte
à
l'archichancelier
le
remerciant
de
l'annonce
de
la
nomination
du
signataire
(non
identifié)
au
titre
de
comte
de
l'Empire.
Paris,
27
janvier
1814.
Nomination
au
titre
de
comte
du
général
Michel.
Papier
partiellement
imprimé.
330
mm
X
215
mm.
[95].
Extrait,
signé
par
le
duc
de
Bassano,
des
minutes
de
la
Secrétairerie
d'Etat:
"Le
général
baron
Michel
est
nommé
comte
de
l'Empire."
Donné
au
Quartier
Impérial
de
Saint-Dizier
le
23
mars
1814.
Né
en
1772,
Claude-Etienne
Michel
entre
au
service
comme
volontaire
en
1791.
Campagnes
à
l'armée
du
Rhin,
à
l'armée
de
Sambre-et-Meuse;
sert
à
l'expédition
d'Irlande
comme
chef
de
bataillon,
à
l'armée
de
Batavie,
à
Saint-Domingue,
à
Austerlitz,
en
Prusse,
Pologne;
est
à
Eylau
et
Friedlandt,
en
Espagne
et
en
Autriche
(1809).
Général
de
brigade
commandant
les
grenadiers
à
pied
de
la
Garde
en
Russie;
campagne
de
Saxe;
général
de
division
en
1813;
campagne
de
France.
Commandant
de
la
Légion
d'Honneur
(1813),
comte
de
l'Empire
(1814),
chevalier
de
Saint-Louis
(1814),
il
est
tué
à
Waterloo
étant
colonel
en
second
du
1°
chasseurs
à
pied
de
la
Garde.
DECORATION
DU
LYS,
CROIX
ET
MEDAILLE
DE
LA
FIDELITE.
Créée
le
26
avril
1814
par
un
ordre
du
jour
du
comte
d'Artois
sanctionné
par
le
Roi
Louis
XVIII
le
9
mai
suivant,
la
Décoration
du
Lys
était
destinée
aux
gardes
nationaux.
Sa
distribution
fut
par
la
suite
largement
étendue
aux
fonctionnaires
et
aux
militaires
de
l'active.
Les
couleurs
du
ruban
varient
selon
le
département.
La
Croix
de
la
Fidélité
fut
créée
spécialement
pour
la
Garde
de
Paris,
en
remplacement
de
la
décoration
du
Lys,
le
5
février
1816
par
le
Roi
Louis
XVIII.
Ruban
en
trois
parties
égales:
bleu,
blanc,
bleu.
La
Médaille
de
la
Fidélité
ou
Médaille
de
Gand
fut
créée
par
Louis
XVIII
pendant
son
exil
à
Gand
le
17
mai
1815
en
faveur
des
volontaires
qui
l'y
avaient
suivi
(essentiellement
des
étudiants
des
Ecoles
de
Droit
et
de
Médecine
qui,
partis
800,
n'arrivèrent
que
50
à
Gand).
*
ASR1
pp.
69
et
ss.;
ASR
p.63;
CB
pp.
137
et
ss.;
AS3
pp.
138
et
ss.;
MM
p.
281.
Insigne
du
Lys.
|

|
Petit
lys
couronné,
en
argent.
28
mm.
[121].
Ruban
postérieur
blanc
bordé
de
bleu.
Lettre-brevet
de
la
Décoration
du
Lys.
18.2
cm
X
23.7
cm.
[348].
Lettre
d'autorisation
de
port
en
faveur
de
Mr.
Alard,
propriétaire,
donnée
à
Paris
le
26
novembre
1814.
En-tête
du
Ministère
de
la
Guerre.
Brevet
de
la
Décoration
du
Lys
(Garde
Nationale
de
Paris).
Papier
partiellement
imprimé.
48
cm
X
38
cm.
[367].
Pièce
en
partie
imprimée
,
avec
bel
encadrement
gravé
aux
Armes
de
France,
attribuée
à
Etienne
Lasne,
peintre
et
doreur
sur
bois,
donnée
à
Paris
le
3
décembre
1814.
Griffe
de
Charles-Philippe
d'Artois
et
signatures
du
duc
de
Montmorency
et
du
général
Dessolle.
Au
verso,
attestation
du
9
mai
1816
signée
par
le
duc
de
Clermont-Tonnerre
et
par
le
maréchal
Oudinot.
Etienne
Lasne,
né
à
Dampierre
(Doubs)
le
19
septembre
1757,
sert
au
régiment
des
Gardes
Françaises
de
1774
à
1782
puis
au
régiment
de
Poitou
pendant
3
ans.
Sergent-major
au
régiment
de
Soissonnais
pendant
5
ans,
il
devient
successivement
sergent,
sergent-major,
sous-lieutenant,
lieutenant,
capitaine
et
enfin,
commandant
de
la
Garde
Nationale
de
Paris
en
1792.
Il
est
blessé
en
défendant
l'appartement
de
la
Reine
le
20
juin
1792;
présent
à
la
journée
du
10
août
1792
pour
la
défense
du
Roi,
il
obtient
le
Médaillon
de
Vétérance
en
messidor
an
3.
(états
de
services
écrits
sur
le
brevet).
Des
objets
provenant
de
la
famille
royale
emprisonnée
au
Temple
furent
offerts
par
ses
descendants
au
Musée
Carnavalet
le
14
juin
1911.
Leur
liste
est
jointe
au
brevet.
Médaille
de
la
création
de
la
Croix
de
la
Fidélité.
|

|
Médaille
en
bronze;
40
mm.
[436].
Avers:
Tête
à
droite
du
Roi
Louis
XVIII,
entourée
de
la
légende:
"FIDELITE
/
DEVOUEMENT".
Sur
la
tranche
du
cou:
"ANDRIEU
F.".
Revers:
La
croix
présentée
revers
apparent,
entourée
de
deux
branches
de
lauriers.
En
dessous:
"ANDRIEU
F."
et
"PUYMAURY
D."*
CB
p.
139.
Croix
de
la
Fidélité.
(Garde
Nationale
de
Paris).
|

|
Croix
d'argent
émaillée
de
blanc,
avec
son
ruban.
42
mm
X
30
mm.
[139].
Etoile
d'argent
à
cinq
pointes
boutonnées
et
émaillées
de
blanc,
la
pointe
principale
dirigée
vers
le
bas
avec
en
opposition
une
fleur
de
lys
couronnée
à
laquelle
s'attache
le
ruban.
Avers:
au
centre,
le
profil
de
Louis
XVIII
entouré
d'un
cercle
d'émail
bleu
portant
la
légende:
"FIDELITE
.
DEVOUEMENT".
Revers:
Au
centre,
une
fleur
de
lys
sur
fond
d'or
avec
en
exergue,
sur
un
cercle
d'émail
bleu:
"12
AVRIL
.
3
MAI
1814,
19
MARS
.
3
JUILLET
1815."
Ruban
en
trois
parties
égales
bleu,
blanc,
bleu.
Médaille
de
Gand.
|

|
Exemplaire
doré
monté
sous
verres
à
la
mode
anglaise,
cerclé
d'or.[407].
Créée
à
Gand
le
17
mai
1815
par
Louis
XVIII
pour
récompenser
le
bataillon
des
Volontaires
Royaux
qui
l’avaient
suivi
dans
son
exil
(600
étudiants
des
Ecoles
de
Droit
et
de
Médecine
qui
n’arrivèrent
que
50
à
Gand).
Cette
médaille
était
en
principe
en
argent
formée
de
deux
parties
accolées
retenues
par
un
cercle
d'argent
et
suspendue
à
un
ruban
blanc
à
trois
rayures
verticales
bleues.
Avers:
Effigie
à
droite
de
Louis
XVIII
entourée
de
la
légende
"LOUIS
XVIII
ROI
DE
France".
Sous
la
tête:
GALLE
F.
Revers:
Dans
une
couronne
de
chêne
et
de
laurier:
"FIDELITE".
LA
FRANC-MACONNERIE
SOUS
L'EMPIRE.
La
franc-maçonnerie,
qui
s'était
mise
en
sommeil
pendant
les
troubles
révolutionnaires,
reprit
progressivement
force
et
vigueur
sous
le
Consulat
et
l'Empire.
Les
loges
militaires
attachées
aux
divers
régiments
de
la
Grande
Armée
participèrent
grandement
à
sa
propagation
et
à
son
réveil
en
Europe.
Diplôme
de
Maître
Maçon.
Parchemin.
[162].
Document
délivré
le
28
mars
1803
à
Alain
Lagarde
par
la
Loge
des
Sincères
Amis
à
Paris.
Insigne
de
la
Loge
des
Amis
Philanthropes.
Argent;
ruban
blanc
et
rouge
à
rosette.
La
Loge
des
Amis
Philanthropes
fut
créée
à
Bruxelles
en
1798
grâce
au
concours
des
maçons
de
la
loge
militaire
ambulante
près
la
66°
demi-brigade.
Diplôme
de
Prince
Rose-Croix.
Parchemin,
avec
sceau
pendant
dans
son
boîtier.
[71].
Diplôme
de
Prince
Rose-Croix
délivré
à
un
militaire
par
la
Loge
des
Amis
Fidèles
de
Napoléon
à
Barcelone
en
1810.
Tableau
d'une
loge
de
Marseille.
Papier
imprimé.
[236].
Tableau
(liste
des
membres)
imprimé
de
la
loge
"L'Amitié
et
l'Impériale,
Amis
Fidèles
de
Napoléon
réunis"
à
la
date
du
24
juin
1812.
Certificat
d'initiation
dans
les
prisons
anglaises.
Papier,
195
mm
X
313mm.
Certificat
de
communication
du
grade
d'apprenti,
en
considération
de
la
situation
particulière,
à
Jean-Baptiste
de
Rivery,
aspirant
de
la
marine
française
et
membre
de
la
Lègion
d'Honneur,
natif
de
Rochefort
et
maintenan
dans
la
prison
de
cette
ville,
daté
de
Tiverton,
Devonshire,
Angleterre,
le
5
juin
1809.
Au
verso,
mention
de
son
affiliation
à
la
loge
l'Austère
Vertu
sur
le
ponton
L'Hector
en
1811,
de
son
initiation
au
grade
de
compagnon
sur
le
même
ponton
et
de
la
communication
du
3ème
grade
au
même
endroit
en
1812.
Insigne
de
la
Loge
"Le
Septentrion".
La
Loge
du
Septentrion
à
Gand
fut
fondée
sous
les
auspices
du
Grand
Orient
de
France
le
2
avril
1811.
ASSOCIATIONS
DE
FRERES
D'ARMES
ET
MEDAILLE
DE
SAINTE-HELENE.
A
la
chute
de
l'Empire,
et
surtout
après
1830,
les
anciens
soldats
des
armées
napoléoniennes
se
groupèrent,
dans
de
nombreux
pays,
en
des
associations
de
frères
d'armes.
Ainsi,
il
en
exista
en
Belgique
à
Alost,
Anvers,
Ath,
Audenarde,
Bruges,
Bruxelles,
Deynze,
Dinant,
Gand,
Hasselt,
Iseghem,
Jalhay,
Jodoigne,
Liège,
Malines,
Menin,
Molenbeek-Saint-Jean,
Mons,
Nivelles,
Ostende,
Saint-Nicolas-Waes,
Zottegem,
Termonde,
Tourhout,
Tirlemont,
Tournai,
Vervier,
Visé,
Ypres...
Ces
sociétés
avaient
leur
drapeau,
leurs
insignes,
leurs
diplômes
et
brevets
etc...
Le
12
août
1857,
l'Empereur
Napoléon
III
créait
la
Médaille
de
Sainte-Hélène
pour
tous
les
militaires
français
et
étrangers
des
armées
de
terre
et
de
mer
qui
avaient
combattu
sous
les
drapeaux
français
de
1792
à
1815.
Elle
fut
distribuée
à
travers
toute
l'Europe
et,
en
Belgique,
plus
de
14.000
Belges
la
reçurent.
*PF;
RM.
Société
Philanthropique
des
Débris
de
l'Ancienne
Armée
Impériale.
(Paris).
Papier.
[23].
Diplôme
sur
papier
attribué
par
la
Société
Philanthropique
des
Débris
de
l'Ancienne
Armée
Impériale
(reconstituée
à
Paris
en
1853)
à
Joseph
Poppé,
ex-adjudant
au
66°
de
ligne
et
président
de
l'Association
des
Anciens
Frères
d'Armes
à
Bruxelles.
(1853).
Faire-part
de
décès
de
Jean-François
t'Felt.
Carton
imprimé,
27
cm
X
25,4
cm.
[31].
Faire-part
de
décès
de
l'ancien
chasseur
à
cheval
J.F.
t'Felt,
membre
de
l'Association
Philanthropique
Belge
des
Anciens
Frères
d'Armes
de
l'Empire
Français
établie
à
Gand.
(1844).
Insigne
de
la
Société
"L'Aigle
de
France"
à
Gand.
|

|
46
mm
X
36
mm.
[252].
Aigle
tenant
dans
ses
serres
deux
bouches-à-feu
croisées.
Ruban
rouge
à
deux
raies
noires.
Attribué
au
revers
à
J.
Roussel
cc.
Insigne
de
l'Association
Belge
de
Secours
Mutuels
des
Anciens
Frères
d'Armes
de
l'Empire
Français.
|

|
Bronze
argenté,
ruban
rouge.
40
mm
X
33
mm.
[253].
Branches
de
laurier,
bouche-à-feu
croisée
sur
une
hache,
lettre
N,
petit
chapeau
et
mains
enlacées.
La
Couronne
d'Argent
des
Frères
d'Armes
de
Bruxelles
|

|
51
mm
X
45
mm.
[296].
N
couronné
entouré
de
palmes
et
de
branches
de
laurier
formant
couronne.
Ruban
rouge.
Cet
insigne
semble
avoir
été
remis
comme
récompense
par
une
société
de
Bruxelles.
Cartes
de
visite
de
Latteur-de
Blye.
Bristol.
[233].
Deux
cartes
de
visite
de
Latteur-de-Blye,
ancien
fourrier
au
154°
de
ligne,
chevalier
de
la
Légion
d'Honneur
et
président
de
la
société
des
Frères
d'Armes
de
Gand.
Cartes
illustrées
de
l'aigle
soutenant
l'insigne
de
la
Légion
d'Honneur.
Carte
de
visite
de
C.H.
Pilloy
(1784-1853).
Bristol.
[105].
Carte
de
visite,
illustrée
d'un
cuirassier
appuyé
sur
son
cheval,
de
C.H.
Pilloy,
ancien
adjudant
sous-officier
au
5°
cuirassier
et
membre
de
la
société
de
Gand.
Carte
de
visite
de
C.H.
Pilloy
(1784-1853).
Bristol.
92
mm
X
58
mm.
[463].
Carte
de
visite,
illustrée
d'une
évocation
du
tableau
représentant
Rapp
annonçant
la
victoire
d’Austerlitz
à
l’Empereur,
de
C.H.
Pilloy,
ancien
adjudant
sous-officier
au
5°
cuirassier
et
membre
de
la
société
de
Gand.
Faire-part
de
décès
de
la
société
de
Gand.
Bristol.
21,5
cm
X
18,3
cm.
[462]
Non
attribué.
La
tombe
de
Sainte-Hélène,
un
portique
gothique,
des
saules,
un
cuirassier
et
un
fantassin.
L.
Defferrez
sc.
Lith.
de
Vanderhaeghe-Maya.
Cartes
de
vœux
des
Anciens
Frères
d'Armes.
Ensemble
de
cartons-pocelaine
de
diverses
sociétés:
-Bruges,
sans
date.
[87].
-Bruges,
1848.
[43].
-Bruges,
1846.
[44].
-Bruges,
1849.
[42].
-Mons
(?),
sans
date.
[45].
-Gand,
1848.
[47].
-Gand,
sans
date.
[62].
Carte
de
membre
de
la
société
de
Gand.
[46].
Carte
d'admission,
non
attribuée.
Le
monument
des
Frères
d'Armes
de
Mont-Saint-Amand.
[202].
Carte-porcelaine
représentant
le
monument
élevé
à
la
mémoire
des
Frères
d'Armes
décédés.
(Société
de
Gand).
Souvenirs
de
P.
Steenweghen.
|

|
Pierre
(Van)
Steenwegen,
ancien
artilleur,
était
membre
de
l'Association
Belge
de
Secours
Mutuels
des
Anciens
Frères
d'Armes
de
l'Empire
Français.
(Bruxelles).
[22].
a)
Cadre
contenant
le
brevet
n°
5660
de
la
Médaille
de
Sainte-Hélène,
une
réduction
dorée
(33
mm)
de
cette
médaille
et
un
insigne
de
l'association
de
frères
d'armes.
b)
Brevet
autorisant
le
port
de
la
Médaille
de
Sainte-Hélène
en
Belgique.
(11
décembre
1857).
c)
Faire-part
de
décès
de
Pierre
Van
Steenwegen.
Médailles
de
Sainte-Hélène

Divers
exemplaires
du
grand
module
(51
mm)
officiel:
-une
médaille
en
bronze
dans
sa
boîte
d'origine
en
carton
estampé.
[50-167].
-une
médaille
en
bronze
argenté.
[166].
-une
médaille
en
bronze
doré.
[165].
-une
médaille
en
bronze
avec
ruban
d'origine
et
attache
de
suspension-agrafe
en
argent.
[451].
Réductions
de
la
Médaille
de
Sainte-Hélène.
|

|
Divers
exemplaires
en
réduction,
poinçonnés
à
l'ancre,
sauf
exception:
-une
réduction
de
31
mm
en
bronze.
[169],
une
autre
partiellement
dorée,
argentée
et
laquée
noir
[445].
-une
réduction
de
31
mm
en
bronze
avec
ruban
tissé
aux
couleurs
de
la
Médaille
de
Sainte-Hélène
et
de
l'Ordre
de
Léopold
de
Belgique.
-une
réduction
de
31
mm
en
bronze
doré.
[168-258].
-une
réduction
de
22
mm
en
bronze.
[39].
-une
réduction
de
20
mm
en
bronze,
non
poinçonnée,
avec
légende
complète
au
revers.
[172].
-une
réduction
de
12
mm
en
bronze
doré,
à
légende
réduite
au
revers.
[170].
-une
réduction
de
12
mm
en
bronze.
[171].
Barrette
de
trois
réductions.
[300].
Barrette
de
réductions
composée
de:
-une
étoile
de
chevalier
de
la
Légion
d'Honneur,
époque
Restauration;
argent,
24
mm.
-une
Médaille
de
Sainte-Hélène
en
bronze
vernis;
22
mm.
-une
croix
de
chevalier
de
l'Ordre
Royal
et
Militaire
de
Saint-Ferdinand
d'Espagne,
à
couronne
de
laurier
inversée,
décernée
pour
la
campagne
d'Espagne
de
1823;
or,
24
mm.
Barrette
de
trois
réductions.
[442]
Barrette
de
réductions
composée
de:
-une
étoile
de
la
Légion
d'Honneur,
argent
19mm;
manque
le
centre
du
revers.
-une
Médaille
de
Sainte-Hélène
dorée,
16
mm.
-une
croix
d'officier
de
l'Ordre
de
Léopold
de
Belgique
à
titre
militaire,
en
or;
21
mm.
L'ensemble
cousu
à
un
beau
ruban
tissé
aux
couleurs
des
trois
décorations,
avec
rosettes
pour
la
Légion
d'Honneur
et
l'Ordre
de
Léopold.
Pastiche
de
la
Médaille
de
Sainte-Hélène.
Etain.
[35].
Médaille
ronde
en
étain
dessinée
par
Félicien
Rops
et
dédiée
aux
membres
de
la
Société
de
Numismatique
de
Belgique.
Avers:
"Du
dernier
des
chauvins,
voilà
tout
ce
qui
reste."
Revers:
"A
ses
compagnons
de
raclée,
sa
dernière
parole,
signé
Cambronne."
Souvenirs
de
L.F.
Froduere.
[84].
Brevet
n°
4692
et
photo
du
titulaire,
L.F.
Froduere,
de
Caprycke,
portant
sa
Médaille
de
Sainte-Hélène.
(1864).
Remise
de
la
Médaille
de
Sainte-Hélène
à
Marienbourg.
[96].
Lettre
datée
du
3
janvier
1858
et
relatant,
sur
un
mode
ironique,
la
distribution
de
la
Médaille
de
Sainte-Hélène
à
Marienbourg.
Bouton
d'uniforme
des
Médaillés
de
Sainte-Hélène.
[199].
Bouton
bombé,
en
étain,
frappé
de
l'aigle
et
portant
la
légende:
Médaillés
de
Sainte-Hélène.
Drôme.
Souvenirs
de
C.
Vermeulen.
[235].
Cadre
contenant
le
brevet
n°
9105,
une
Médaille
de
Sainte-Hélène
et
la
photo
du
titulaire,
Constantin
Vermeulen,
d'Iseghem.
Brevet
de
Médaille
de
Sainte-Hélène.
Papier
collé
sur
carton.
[264].
Brevet
n°
19973
attribué
à
Laurent
Joseph
Lequinze,
de
Chênée.
Brevet
de
Médaille
de
Sainte-Hélène.
Papier
collé
sur
carton.
[466].
Brevet
n°
17.307
bis
attribué
à
Guillaume
Wedau,
de
Montigny
sur
Sambre.
Brevet
de
Médaille
de
Sainte-Hélène.
[149].
Brevet
n°
45986
attribué
à
Antoine
Guillard,
militaire
au
30°
de
ligne.
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